Ensemble contre la barbarie, la lutte contre le fascisme !
Il y a cinq ans, l'atelier « Plus jamais ça » s'est divisé en deux : « Ensemble contre la barbarie» et « Plus jamais ça ». Ce dernier travaille en particulier sur la seconde guerre mondiale.
« Ensemble contre la barbarie » approfondit quant à lui le lien entre l’extrême droite actuelle et les génocides de l’histoire.
Leur but est d'informer sur l'actualité du monde entier. Cette année, ils travaillent donc sur la montée de l’extrême droite notamment au Brésil, en Italie ou même ici, avec Schild en Vrienden et la NVA.
Souvent, le projet se constitue d'une vingtaine d'élèves avec deux points communs : une envie de partager des savoirs et un intérêt pour la lutte contre le fascisme. Vendredi 15 mars, ils sont allés à Paris -non pas pour faire du shopping- mais bien pour aller voir, entre autres, le musée de la Shoah.
Durant la seconde guerre mondiale par exemple, on ne se doutait pas qu’Hitler provoquerait de telles choses. L’électorat pensait qu’il envoyait les Juifs en vacances. Ça restait assez secret, les gens n’avaient pas les moyens de s’informer étant donné que l’Allemagne interdisait tous journaux qui n’étaient pas les leurs. Aujourd’hui, cet atelier peut permettre à certaines personnes de savoir qu’au Brésil, par exemple, le peuple a élu un dictateur. Sa prise de position vis-à-vis des femmes, des peuples Indigènes, des Noirs, etc. est assez discriminatoire. Il est important, et surtout de nos jours, d’informer sur ces sujets.
Garance Riga
« Ensemble contre la barbarie » approfondit quant à lui le lien entre l’extrême droite actuelle et les génocides de l’histoire.
Leur but est d'informer sur l'actualité du monde entier. Cette année, ils travaillent donc sur la montée de l’extrême droite notamment au Brésil, en Italie ou même ici, avec Schild en Vrienden et la NVA.
Souvent, le projet se constitue d'une vingtaine d'élèves avec deux points communs : une envie de partager des savoirs et un intérêt pour la lutte contre le fascisme. Vendredi 15 mars, ils sont allés à Paris -non pas pour faire du shopping- mais bien pour aller voir, entre autres, le musée de la Shoah.
Durant la seconde guerre mondiale par exemple, on ne se doutait pas qu’Hitler provoquerait de telles choses. L’électorat pensait qu’il envoyait les Juifs en vacances. Ça restait assez secret, les gens n’avaient pas les moyens de s’informer étant donné que l’Allemagne interdisait tous journaux qui n’étaient pas les leurs. Aujourd’hui, cet atelier peut permettre à certaines personnes de savoir qu’au Brésil, par exemple, le peuple a élu un dictateur. Sa prise de position vis-à-vis des femmes, des peuples Indigènes, des Noirs, etc. est assez discriminatoire. Il est important, et surtout de nos jours, d’informer sur ces sujets.
Garance Riga